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___Patrick___

Concerts

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8 mars 2006 3 08 /03 /mars /2006 00:00

Tes souvenirs se voilent
Ça fait comme une éclipse
Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Au Café des Délices

Tes souvenirs se voilent
Tu vois passer le train
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices

Yalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalil

Tes souvenirs se voilent
Tu la revois la fille
Le baiser qui fait mal
Au port El Kantaoui
Les premiers mots d'amour
Sur les chansons velours
Abibi Abibi

Tes souvenirs se voilent
Tu les aimais ces fruits
Les noyaux d'abricot
Pour toi, c'étaient des billes
Et les soirées de fête
Qu'on faisait dans nos têtes
Aux plages d'Hammamet

Yalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalil

Tes souvenirs se voilent
À l'avant du bateau
Et ce quai qui s'éloigne
Vers un monde nouveau
Une vie qui s'arrête
Pour un jour qui commence
C'est peut-être une chance

Yalil yalil tu n'oublieras pas
Yalil yalil ces parfums d'autrefois
Yalil yalil tu n'oublieras pas
Yalil yalil même si tu t'en vas

Yalil yalil abibi yalil yalil yalil abibi yalil

Une nuit plein d'étoiles
Sur le port de Tunis
Et la blancheur des voiles
Des femmes tenant un fils
Le vent de l'éventail
De ton grand-père assis
Et l'odeur du jasmin
Qu'il tenait dans ses mains
Au Café des Délices

Paroles et Musique: Félix Gray, Patrick Bruel   1999  "Juste avant"
© 14-Productions


Pour écouter le morceau, cliquez ici

Pour écouter le morceau,
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2 mars 2006 4 02 /03 /mars /2006 00:00

 {Refrain:}
On s'était dit rendez-vous dans 10 ans
Même jour, même heure, même pommes
On verra quand on aura 30 ans
Sur les marches de la place des grands hommes

Le jour est venu et moi aussi
Mais j' veux pas être le premier.
Si on avait plus rien à se dire et si et si...

Je fais des détours dans le quartier.
C'est fou qu'un crépuscule de printemps.
Rappelle le même crépuscule qu'il y a 10 ans,
Trottoirs usés par les regards baissés.
Qu'est-ce que j'ai fais de ces années ?

J'ai pas flotté tranquille sur l'eau,
Je n'ai pas nagé le vent dans le dos.
Dernière ligne droite, la rue Souflot,
Combien seront là 4, 3, 2, 1... 0 ?

{Refrain}

J'avais eu si souvent envie d'elle.
La belle Séverine me regardera-t-elle ?
Eric voulait explorer le subconscient.
Remonte-t-il à la surface de temps en temps ?
J'ai un peu peur de traverser l' miroir.
Si j'y allais pas... J' me serais trompé d'un soir.
Devant une vitrine d'antiquités,
J'imagine les retrouvailles de l'amitié.
"T'as pas changé, qu'est-ce que tu deviens ?
Tu t'es mariée, t'as trois gamins.
T'as réussi, tu fais médecin ?
Et toi Pascale, tu t' marres toujours pour rien ?"

{Refrain}

J'ai connu des marées hautes et des marées basses,
Comme vous, comme vous, comme vous.
J'ai rencontré des tempêtes et des bourrasques,
Comme vous, comme vous, comme vous.
Chaque amour morte à une nouvelle a fait place,
Et vous, et vous...et vous ?
Et toi Marco qui ambitionnait simplement d'être heureux dans la vie,
As-tu réussi ton pari ?
Et toi François, et toi Laurence, et toi Marion,
Et toi Gégé...et toi Bruno, et toi Evelyne ?

{Refrain}

Et bien c'est formidable les copains!
On s'est tout dit, on s' sert la main !
On ne peut pas mettre 10 ans sur table
Comme on étale ses lettres au Scrabble.
Dans la vitrine je vois le reflet

D'une lycéenne derrière moi.
Si elle part à gauche, je la suivrai.
Si c'est à droite... Attendez-moi !
Attendez-moi ! Attendez-moi ! Attendez-moi !

On s'était dit rendez-vous dans 10 ans,
Même jour, même heure, même pommes.
On verra quand on aura 30 ans
Si on est d'venus des grands hommes...
Des grands hommes... des grands hommes...

Tiens si on s' donnait rendez-vous dans 10 ans...

Paroles: Bruno Garcin. Musique: Patrick Bruel

Pour écouter le morceau, cliquez ici
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26 janvier 2006 4 26 /01 /janvier /2006 16:20

Je parlais de l'amour
comme on parle du temps
sans l'avoir vu au jour

sans le connaître vraiment

J'y pensais comme on rêve
j'en rêvais sans y croire
entre ces coeurs en grèv
e
et ces histoires "pour voir"


J'm'attendais pas à toi
j'm'attendais pas à ça

j'm'attendais pas à moi
dans c'rôle


J'm'attendais pas à lire
autre chose que mon livre
j'm'attendais pas à vivre
au dessus de mes lignes


Dans cette foule de gens seuls
toutes ces vies qui se flent
tous ces corps qui s'en veulen
t
ces chagrins sans épaules


On respire l'air du large
l'air du temps, l'air de rien
On veut tous prendre le large
personne connaît le chemin

J'm'attendais pas à toi
j'm'attendais pas à ça
j'm'attendais pas à moi
dans c'le

J'm'attendais pas à lire
autre chose que mon livre
j'm'attendais pas à vivre

au dessus de mes lignes


Et puis j'ai vu ta tête
un clown aux yeux qui brillent
tes chagrins dans les fêtes
et ton rire qui rougit


Si forte d'être fragile
tes peurs aps la nuit
les princesses que j'ai l
u
étaient moins farfelues


J'm'attendais pas à toi
j'm'attendais pas à ça
j'm'attendais pas à mo
i
dans c'rôle


Je courrais sans lanterne
Vers une aube qui s'enfui
t
aux endroits l'on s'aimen
t
il ne fait jamais nuit


J'm'attendais pas à toi
j'm'attendais pas à moi
dans c'le là

Et le route fut belle
de mes ves à ma vie
croustillante de dentelle
rideaux neufs, nouveau lit

J'ai po 1000 questions
à mon coeur, à ma tête
j'ai plan l'vieux garçon
au milieu de ses peuttre

Tous ces jours plus pareils
tous ces matins parfaits
tes yeux me réveillent
dans un rire un secret


J'm'attendais pas à ça

Pour écouter le morceau, cliquez  sur la note:


 

Paroles trouvées chez SarahJoce02
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20 décembre 2005 2 20 /12 /décembre /2005 14:49

Retrouvez le duo Dit is mijn stem / Casser la Voix sur l'album du chanteur néerlandais 
 Xander de Buisonjé

Vroeg of laat
altijd weer water bij de wijn
vroeg of laat
net even anders willen zijn
Vroeg of laat
de moed dat ik mezelf blijf
vroeg of laat
schreeuw ik de longen uit m'n lijf
Dit is mijn stem
dit is mijn stem
dit is mijn stem
het is wie ik ben
[ zang Patrick Bruel ]

Dus neem me maar
of laat me zijn zoals ik ben
en adem mee
mee op de hartslag
van m'n stem
Casser la voix [4x]

Ik zie een lamme een blinde
en een simpele dwaas
die de weg weet te vinden
die zichzelf verbaast
wanneer ik worstel naar boven
het is een oud ritueel
voel ik zand in m'n ogen
ik voel het zand in m'n keel

[ zang Patrick Bruel ]
Casser la voix
Dit is mijn stem
Dit is mijn stem
Het is wie ik ben

[ zang Patrick Bruel ]

Het is alles of niets want dat zit in mijn bloed
het is hetzelfde liedje altijd beter dan goed
laat de tranen maar komen, ik ben er klaar voor vandaag
kan het antwoord al dromen nu alleen nog de vraag
Dit is mijn stem
casser la voix
Dit is mijn stem
casser la voix
Vroeg of laat
altijd weer water bij de wijn

[ zang Patrick Bruel ]

vroeg of laat
De moed dat ik mezelf blijf

[ zang Patrick Bruel ]

Casser la voix
dit is mijn stem [6x]

Casser la voix


 
Cliquez ici  pour écouter le morceau (en entier...)
 
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2 décembre 2005 5 02 /12 /décembre /2005 00:00



L'an dernier pb et sa femme amanda avaient ecrit un texte magnifique pour le téléthon:

Si un arc-en-ciel
Tombait du ciel
Demain

J'lui prêterais mes ailes
Pour qu'il t'élève
Plus loin

Si cet arc-en-ciel
Colore tes rêves
Enfin

Je croirais au ciel
Oui, pour une heure
Au moins

Mais si l'arc-en-ciel
Se perd sur le
Chemin

S'il n'y a pas de soleil
Que des perles de
Chagrin

Je t'offre mes aquarelles
Que tu dessines
Le tien

Je t'offre mes sommeils
Et mes rêves et
Ma main

Et les mots s'emmêlent
Quand tu m'appelles
De loin

Ton corps en porcelaine
Si fort contre
Le mien

Quand ton courage balaye
Mes joues d'un r'vers
De main

Tu me parles de demain
J'sais plus qui est
L'gamin

Paraît que la vie est belle
Qu'il faut y croire
Au moins

Je rêve de galipettes
De pieds de nez au
Destin

Si un arc-en-ciel
Passait de mains
En mains

Je croirais au ciel
Oui, pour une heure
Au moins

 

Paroles : Patrick Bruel / Amanda Sthers
Musique : Patrick Bruel

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19 novembre 2005 6 19 /11 /novembre /2005 16:37

On m'avait dit : "Te poses pas trop de questions.
Tu sais petit, c'est la vie qui t' répond.
A quoi ça sert de vouloir tout savoir ?
Regarde en l'air et voit c' que tu peux voir."

On m'avait dit : "Faut écouter son père."
Le mien a rien dit, quand il s'est fait la paire.
Maman m'a dit : "T'es trop p'tit pour comprendre."
Et j'ai grandi avec une place à prendre.

Qui a le droit, qui a le droit,
Qui a le droit d' faire ça
A un enfant qui croit vraiment
C' que disent les grands ?

On passe sa vie à dire merci,
Merci à qui, à quoi ?
A faire la pluie et le beau temps
Pour des enfants à qui l'on ment.

On m'avait dit que les hommes sont tous pareils.
Y a plusieurs dieux, mais y' a qu'un seul soleil.
Oui mais, l' soleil il brille ou bien il brûle.
Tu meurs de soif ou bien tu bois des bulles.

A toi aussi, j' suis sur qu'on t'en a dit,
De belles histoires, tu parles... que des conneries !
Alors maintenant, on s' retrouve sur la route,
Avec nos peurs, nos angoisses et nos doutes.

Qui a le droit, qui a le droit
Qui a le droit d' faire ça
A un enfant qui croit vraiment
C' que disent les grands ?

On passe sa vie à dire merci,
Merci à qui, à quoi ?
A faire la pluie et le beau temps
Pour des enfants à qui l'on ment.

Pour écouter le duo Patrick Bruel / Ana Torroja, cliquez ici
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28 octobre 2005 5 28 /10 /octobre /2005 00:00

J'te mentirais Si j'te disais qu' j'y ai pas pensé
Si j'te disais qu' j'ai pas voulu Retenir le nom de sa rue
Si j'te disais,
Mon amour, que j'ai rien senti,
Rien entendu de ces non-dits
Qu'à ses silences, j'ai pas souri
J'te mentirais J'te mentirais

Vite, je tombe Est-ce que tu m' regarderas ?
Est-ce que tu seras en bas Pour m'emmener là où je n' sais pas
Là où je n' vais pas ?
Alors, vite, je tombe Comme un pantin sans fil
Trop libre et trop fragile
Je cherche ta main dans les nuages Pour chasser son image

J'te mentirais Si j'te disais au fond des yeux
Que tes larmes ont tort de couler Que cette fille ne fait que passer
J'te mentirais Et pourtant moi, j' me suis menti
De nous croire tellement à l'abri
De nous voir plus fort que la vie
Mais ces choses-là On ne les sait pas

Vite, je tombe Est-ce que tu seras en bas ?
Est-ce que tu m'attendras Pour m'emmener là où je n' sais pas,
Pour me ramener vers toi ?
Alors, vite, je tombe comme un pantin sans fil
Notre histoire qui défile
Je cherche ta main dans les nuages Pour pas tourner la page

J'te mentirais Mais à qui d'autre pourrais-je le dire
Sans cette fois vraiment te trahir ? Le silence est parfois pire

Vite, je tombe Est-ce que tu seras en bas ?
Est-ce que tu m'ramasseras Pour m'emmener là où je n' sais pas,
Pour me rammener vers toi ?
Alors, vite, je tombe Comme un oiseau voleur
Touché là, en plein cœur Et qui se demande encore pourquoi
Il est passé par là.


Retrouvez le morceau ici 
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25 octobre 2005 2 25 /10 /octobre /2005 00:00

Mais uma cançào pra vocé
Pra te dizer que estare sempre aqui
Que o tempo pode passar
As em embranças vas ficar
Vas cantaremos mas uma vez...
Saudades.

Elle était coincée là depuis trois ou quatre mois,
Une sale histoire, je crois.
Elle aurait bien craqué pour une histoire d'amour,
En échange d'un billet de retour.

Elle jouait au poker avec deux, trois dockers,
Dans un café de Belem.
Elle m' cherchait du regard comme s'il était trop tard,
Comme si personne voulait rien voir.

DÉCALÉ,
isso nào fas mal
DÉCALÉ,
eu tambem toma, décalé moin

Dans ce vieux piano bar, elle chantait tous les soirs.
Ici tout l' monde l'appelait : "la star"
Elle m'a raconté son histoire, mytho ascendant bobards,
Mais moi, j' faisais semblant d'y croire.

Elle avait si souvent dû laisser sa tendresse
A de mauvaises adresses.
Elle ne regrettait rien, elle le criait si bien,
Rien de rien.

DÉCALÉ,
isso nào fas mal
DÉCALÉ,
eu tambem toma, décalé moin

Les verres de cachaça nous donnaient du courage.
On faisait les malins pour pas rester trop sage.
A l'aube on s'est perdus, je l'ai jamais revue.
Je l'ai jamais revue...

DÉCALÉ,
isso nào fas mal
DÉCALÉ,
eu tambem toma, décalé moin

Mais uma conçao pro vocé
Pra te dizer que estare sempre aqui
Que o tempo pode passar
As em embranças vas ficar
Vas cantaremos mas uma vez...


Paroles et musique: Patrick Bruel

 

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9 octobre 2005 7 09 /10 /octobre /2005 00:00

Il t'a regardé
Puis il m'a souri
Depuis si longtemps
Il n'avait rien dit

Y avait presque un siècle
Qui vous séparait
Le long de sa joue
Une larme coulait

Il t'a pris au bout de ses bras
Dans un éclat de rire
Toi, bébé, tu as pris son doigt
Comme pour le retenir

Puis il t'a parlé
De cette vie passée
Il t'a raconté
La tienne qui commençait

Toutes tes colères
Toutes tes peines, tes joies
Tes plus belles guerres
Celles que l'on ne gagne pas

Et puis ses yeux se sont posés
Doucement sur chacun,
Et chacun de nous y lisait
Quelques mots pour demain

Vivre pour pouvoir revivre
C'est là ton seul devoir
Celui de dire pour rester libre,
Celui de ta mémoire

Ses yeux chantaient merci, merci,
J'ai plus peur de partir

Et puis vient Céline,
Celle qui aimait tant
Elle n'aimait que lui
Depuis soixante-deux ans

Il la regardait,
Pas besoin de mots,
Ses yeux lui disaient
Ne tarde pas trop...

Paroles: Patrick Bruel. Musique: David Moreau   1999  "Juste avant"
© 14-Productions

Si vous n'arrivez pas à écouter le morceau ici, rendez-vous dans la colonne LIENS (à gauche)
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